En octobre dernier, je vous parlais de la marque de cosmétique Même ; une marque qui a comme fil rose la beauté et le cancer. J’ai décidé, cette année encore, d’apporter ma contribution à la campagne de lutte contre le cancer du sein organisée par l’association « Le cancer du sein, parlons-en », en rappelant à chaque femme, à chaque lectrice à quel point il est important de se faire dépister mais également en mettant en avant une marque qui permet à chacune de se sentir mieux, pendant et après la maladie.
OCTOBRE ROSE
Octobre, c’est le mois de la sensibilisation et de la prévention contre le cancer du sein ; un cancer qui je le rappelle touche près de 54 062 femmes chaque année, ce qui représente environ une femme sur huit. Ça fait maintenant 25 ans que l’évènement Octobre rose existe ; chaque année l’association met en avant une nouvelle ambassadrice et de nouveaux projets, mais le but lui, ne change pas : Lutter contre cette maladie. Plus le cancer du sein est détecté à temps, plus on a de chance de le soigner ; c’est pourquoi il est important de faire un dépistage au moins tous les deux ans. Le dépistage pour les femmes entre 50 et 74 ans est gratuit, mais je vous conseille de vous faire dépister bien avant et chaque année si possible ; d’autant plus si vous avez des antécédents familiaux ou des facteurs de risque importants (plus d’infos). Pensez aussi à l’autopalpation ; une fois par mois, c’est un réflexe bon à adopter. Parlez-en à votre gynécologue, il/elle pourra vous apprendre les bons gestes.
LA MARQUE ENTRENOUE
EntreNoue, c’est l’histoire de Fanny ; une jeune femme pétillante, que j’ai eu la chance de rencontrer il y a quelques mois lors d’un week-end organisé par Les thermes Roche Posay. Aujourd’hui, je suis très fière de vous parler d’elle, de son parcours et de son travail. Fanny a lancé la marque Entre Noue quelques mois seulement après avoir appris sa maladie. À 26 ans à peine, son médecin lui annonce qu’elle est atteinte d’un cancer du sein invasif triple négatif de stade et de grade 3. Une fois le traitement débuté, sa longue chevelure bouclée a laissé place à l’alopécie (la chute de cheveux). Fanny s’est alors rendu compte qu’il n’était pas si simple de trouver une alternative à l’alopécie, alliant confort, beauté, et surtout qui ne soit pas estampillé « malade ». Les turbans à nouer soit même lui plaisaient bien ; mais avec les traitements ou encore après un curage ganglionnaire ou encore une opération du sein, lever le bras peut-être très douloureux ; et avouons-le, ce n’est pas si simple de trouver le coup de main. C’est à ce moment que Fanny a imaginé des systèmes préconçus et a mémoire de forme qui donnent aux turbans un aspect noué, tout en volume pour une utilisation simple et confortable. Plus besoin de réfléchir, il suffit simplement d’enfiler le turban, comme un bonnet. Il existe différentes formes, finitions et une multitude de modèle différents (il est même possible de passer commande pour du sur mesure). Chaque turban est fait à la main (par Fanny), et avec beaucoup d’amour. Les produits sont de très bonne qualité, et les finitions sont parfaites. Parce que, chaque femme, même malade a le droit de se sentir belle et bien. D’ailleurs, les turbans Entre noue ne sont pas destinés qu’aux personnes souffrantes.
PS : EntreNoue reverse 5% de son chiffre d’affaire à l’institut Paoli-Calmettes pour la recherche contre le cancer.
RETROUVEZ FANNY SUR INSTAGRAM OU SUR WWW.ENTRENOUE.COM
Un fort bel article, très bien écrit. Une jolie initiative de Fanny pour aider les personnes à supporter la maladie en gardant un côté élégant et joli….
Auteur/autrice
Merci beaucoup Seb 🙂